Diffusée depuis octobre 2012 sur la célèbre chaîne américaine CW, Arrow renouvelle le personnage de DC Comics, le Robin des Bois contemporain.

Oliver Queen, héritier milliardaire d’une famille influente à Starling City, disparaît dans un naufrage avec sa petite amie Sara Lance. Tous deux ainsi que le père d’Oliver sont considérés comme mort par leurs familles, et la découverte d’un Oliver vivant et en bonne santé sur une île déserte au milieu de la mer de Chine après cinq ans d’absence bouleverse la ville de Starling City. Celle-ci voit par ailleurs apparaître dans ses rues à la même période un justicier masqué, tout de vert vêtu, dont la seule arme est un arc, mais quel arc !

Oliver cache à sa mère Moira, sa soeur Thea et au reste du monde la vie qu’il a mené pendant ses cinq ans d’absence. L’homme qui est revenu à Starling City n’a qu’un but, débarrasser sa ville de la pègre criminelle. Pour cela, il s’entoure d’un duo tout à fait compétent : John Diggle, ancien marine, rompu à toutes les formes de combat, son garde du corps ; et Felicity Smoak, génie de l’informatique en plus d’être un canon.

Je vous l’avoue, ce qui m’a attiré en premier vers cette série sont les acteurs. Stephen Amell dans le rôle titre, accompagné de David Ramsay et Emily Bett Rickards, forment un trio de justiciers dynamique et charismatique !

Avec plaisir, les Whovians retrouveront le beau John Barrowman dans le rôle de Malcolm Merlyn, tandis que Paul Blackthorne joue l’inspecteur Quentin Lance, principal allié du « Vigilante » comme l’appellent les habitants de la ville.

La qualité visuelle, la cohérence du scénario sont aussi des avantages certains d’une série qui a déjà remporté quatre Leo Awards et un TV Guide Award. Comme la série qui a relancé le genre, Lost, Arrow joue entre le passé et le présent au moyen de flash-back qui racontent les cinq ans d’absence d’Oliver. La série est tournée exclusivement à Vancouver, le paradis des séries télés, avec quelques vues aériennes du quartier des affaires de Bruxelles et des plans de nuit de Francfort-sur-le-Main (Allemagne). Autant dire que les décors sont de qualité !

Même la musique a une importance, chaque personnage, et même l’île, ayant un thème. Comme dans toutes les séries, les compositions, signées ici Blake Neely, soulignent les événements, supportent les dialogues, accompagnent les silences … Et sont merveilleuses ! Exemple avec le thème d’Oliver dans la saison 1.
Depuis le début de cette année, Arrow compte au nombre des séries qui ont leur spin-off. En effet, la saison 2 a vu l’apparition d’un nouveau personnage que les fans de DC Comics connaissent : Barry Allen, alias The Flash, l’homme qui court le plus vite au monde. Je me suis aussitôt lancée dans cette aventure qui compte trois épisodes pour l’instant, et dés le premier j’ai été totalement happée ! Devant l’épisode 1, qui allie visuels excitants, effets spéciaux de qualité et histoire qui s’annonce palpitante, mon côté geek a connu une petite crise d’hystérie qui a continuée avec l’épisode 2 … En bref, une très bonne série à suivre !
Votre commentaire